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| life is what happens while you are busy making other plans. -M. | |
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Maëllys-Rosae E. Walsh membre Ҩ cap de jouer le jeu.
locked out of heaven. ๑ Pseudo : .mind's disaster (anais) ๑ Avatar : rachel mcadams ๑ Crédits : hollowerstion (avatar) ๑ Messages : 58
| Sujet: life is what happens while you are busy making other plans. -M. Ven 3 Mai - 11:18 | |
| maëllys-rosae elizabeth walsh FT. RACHEL MCADAMS ▲ (C) TUMBLR NOM(S): Walsh, patronyme qui en jette en réalité. Plus qu'elle ne le voudrait, elle qui renie toute chose lui venant de son père. PRÉNOM(S): Maëllys-Rosae Elizabeth. Maë ou Rose. ÂGE: 31 ans. Le temps passe trop vite et ne laisse aucun répit. LIEU ET DATE DE NAISSANCE: N-Y city METIER: Créatrice de parfums ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuelle, même si elle a eu une passade rebelle et lesbienne durant son adolescence. SITUATION CIVILE: techniquement fiancée, mais elle n'est plus sure de rien en ce moment. QUALITÉS: généreuse, persévérante, aimante, souriante, bohème. DÉFAUTS: têtue, râleuse, lunatique, possessive, peu encline à admettre ses tords GROUPE:écrire ici. INSCRIT SUR LE SITE?: nop, et puis quoi encore? La technologie c'est pas vraiment son genre... tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ∞ tic, manie, truc à savoir ◮ Comment ton personnage a-t-il découvert Dare or not dare?(répondre ici en un minimum de 4 lignes.) ◮ Que pense-t-il du concept de base du site? Ainsi que des dérives qui y sont liées?(répondre ici en un minimum de 4 lignes. ) ◮ Ton personnage a-t-il toujours été du genre à rentrer dans le moule ou plutôt du style marginal?(répondre ici en un minimum de 4 lignes.) ◮ Est-il très porté sur le monde informatique en général? (répondre ici en un minimum de 4 lignes.) ◮ Raconte-nous une petite annecdote.(répondre ici en un minimum de 4 lignes.) toi toi toi derrière ton écran. petite citation qui claque PSEUDO: .mind's disaster , mais la plupart d'entre-vous doivent encore me connaitre sous mon ancien pseudo: .YESTERDAY (a) PRÉNOM: Anaïs FRÉQUENCE DE CONNEXION: 8/7. Sisi, je peux. J'suis dieu! DÉCOUVERTE DU FORUM SUR: Ben, lis convenablement: j'suis dieu. Je sais tout. CQFD T'EN PENSES QUOI?: il est à mon image: parfait et modeste! (a) PETIT MOT DE LA FIN: petit mot. - Code:
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Maëllys-Rosae E. Walsh membre Ҩ cap de jouer le jeu.
locked out of heaven. ๑ Pseudo : .mind's disaster (anais) ๑ Avatar : rachel mcadams ๑ Crédits : hollowerstion (avatar) ๑ Messages : 58
| Sujet: Re: life is what happens while you are busy making other plans. -M. Ven 3 Mai - 11:19 | |
| we all have our stories to tell i'm at a payphone, trying to call home.✈ Chapitre un: Père & fille. Mon père? Il était plus un courant d'air qu'un parent, selon moi. Homme d'affaire très pris, il n'avait que peu de temps à accorder à sa fille unique. Oh, il ne fut pas toujours comme ça, non. Dans les premières années de ma vie, ce fut un père aimant et attentif; le héros de mon enfance. Dans mon âme d'enfant encore bien naïve, mon papa savait tout faire! Rien ne lui était impossible. Et puis, le drame était arrivé... « Nous avons fait tout notre possible Monsieur... On a rien pu faire... » Cette phrase, ces 12 petits mots, ils ont changé le cours de notre vie, de manière définitive. « Papa. Pourquoi les anges ils ne veulent pas nous rendre maman? » Du haut de mes cinq ans, je ne pouvais pas comprendre que ma mère ne reviendrait jamais. Pour moi, elle était juste partie faire un tour au ciel et finirait par revenir tôt ou tard, comme d'un long voyage à l'étranger. Mais plus je grandissais, plus je comprenais que je l'avais bel et bien perdue pour de bon, lors de ce fatal accident de la route. Elle n'était pas la seule que j'avais perdue ce jour là; mon père aussi m'échappait. Il n'était plus jamais là, prétextant mille voyages d'affaires plutôt que de rester à la maison s'occuper de moi. Pourtant, à chaque retour ici, il m’amenait toujours un "trésor" rapporté avec lui de ses différents périples. Une poupée du Mexique, un bracelet d'Inde,... Tant d'objets magnifiques qui continuaient à faire rêver mon âme d'enfant. A sa manière bien particulière, mon père essayait de me communiquer ses histoires, ce qu'il avait vu et vécu. Avec ma candeur, je l'imaginais escaladant le Mont Everest à mains nues, ou encore traverser la manche à la nage... Seulement, ce n'était pas suffisant. Je le voulais lui et pas tous ces trésors. Ne s'était-il pas rendu compte d'à quel point son absence m'avait fait souffrir? A quel point je voulais l'accompagner dans tout ce qu'il entreprenait? C'est ainsi que l'adolescence arriva et me révolta contre le seul parent qu'il me restait, un fantôme. Je ne voulais plus de ses cadeaux, ni de lui d'ailleurs. Son secrétaire personnel était plus devenu un père pour moi que lui ne l'avait jamais été. Et voilà qu'à ma sortie des secondaires, il voulait que je suive ses pas et étudie l'économie. Il en était hors de question. Mon univers à moi, c'était les odeurs. J'étais ce que l'on pouvait appeler un nez; or, pour les gens dans ma situation, seules les odeurs comme erspective d'avenir étaient envisageables. Aussi, le jour de mes 18 ans, je décida d'aller poursuivre mon rêve à Paris. C'est ainsi que je fuguai de chez moi, laissant derrière moi le faste et la richesse. Pour voler de mes propres ailes. ✈ Chapitre deux:Tomas. Tout à Paris avait une saveur différente, la vie était différente. Finie la vie de palace, j'avais à peine de quoi me permettre un minuscule studio. Mais dieu que j'étais heureuse au milieu de mes essences, à étudier les flagrances qui m’entouraient constamment. Oui c'était ça la vie que je voulais, celle à laquelle j'aspirais. Une vie bohème et faite de rêves. J'évoluais dans ce milieu, comme si toute ma vie n'avait tendu qu'à m'amener là bas, à ce moment précis exactement. « Oh pardon, je ne vous avais pas vue! » C'est ainsi que commença l'aventure la plus folle que la vie avait jamais réservée pour moi. Il s'appelait Tomas. C'était une jeune allemand venu étudier le journalisme à Paris. Son grand rêve? Devenir reporter, afin de dénoncer toutes les atrocités de ce monde de fous. Il était jeune, beau à se damner, idéaliste, et surtout il avait ce petit côté indompté si craquant! C'était la personne la plus surprenante et merveilleuse que je connaissais. A l'époque de notre rencontre, il venait d'avoir 22 ans et moi 19. Tout nous séparait: nos statuts sociaux, notre langue, l’océan. Et poudrant, notre relation fut comme une évidence. Je l'aimais comme on aime le soleil, de manière inconditionnel. Il répétait souvent que j'étais trop attachée à lui, d'ailleurs. Je pense que, dans un sens, mon amour l'étouffait; lui qui rêvait de liberté et d'aventure. Mais, l'un comme l'autre, nous n'y pouvions rien. C'était comme si une force indépendante de notre volonté nous attirait l'un vers l'autre. Oh bien sur, il y eut des disputes. Souvent, même. On était comme chien et chat, mais au fond nous adorions nous chamailler. Notre histoire ne dura que six mois, six merveilleux mois. Puis un jour, alors qu'il venait de me demander ma main, mon père débarqua et brisa mon rêve, ma petite bulle. Je n'avais pas encore 21 ans, l'âge de la majorité Américaine. Aussi eut-il parfaitement le droit de me reprendre avec lui aux yeux de la loi. Ce jour là fut le pire de ma vie, je pense. Mon père avait mis son poing sur la figure de l’homme que j'aimais et me ramenait de force à la maison. « Ne te mêle plus jamais de ma vie! » J'avais froidement prononcé cette sentence en arrivant sur le pas de notre imposante demeure à New-York. Ensuite, j'avais déménagé, à Chicago. Je ne voulais plus rien avoir affaire avec l'homme qui me servait de géniteur. Il avait brisé mon rêve, ma vie; et je n'étais pas prête à lui pardonner. Mais même s'il nous avait mis des bâtons dans les roues, Tomas et moi n'avions pas abandonné le fol espoir de nous revoir un jour. J’enchaînais les petits boulots pour économiser afin de le rejoindre en Allemagne- où il était repartit après avoir fini ses études. Et j'attendais, patiemment, mes 21 ans... Seulement, le jour des retrouvailles ne vint jamais.... ✈ Chapitre trois: Aloïs. « Il est mort. » Cet aveu, que je n'avais même pas réussi à me faire à moi-même, je l'avais soufflé à mi-mot à un jeune homme à l'air aussi perdu que moi. Dans ses yeux se lisaient la même souffrance que la mienne- le même gouffre sans fond, laissé par l'absence de l'être aimé. L'inconnu souffla quelques mots, comme en écho à ma peine. « Oui, il est mort... » Et sur cette phrase, il vint s’asseoir sur le bord de mon lit d’hôpital. Il était là pour veiller son mari, Edward, atteint du SIDA. Ce dernier était mort la nuit où j'avais été admise à l’hôpital. Pourquoi avais-je été hospitalisée, pour ma part? Je m'étais évanouie en entendant les infos durant mon service dans un bar où je travaillais de nuit. Un convoi de quatre journalistes avait explosé sur une mine à Bagdad, alors qu'ils étaient là pour le travail. Parmi les victimes, un jeune reporter de race allemande... Je n'avais pas eu besoin d'entendre la suite pour comprendre l'inacceptable. Tomas était mort, et mon monde s'écroulait. Maintenant, j'étais seule. Enfin... Pas tout à fait: l'inconnu de l’hôpital devint rapidement mon meilleur ami. Aloïs. Ensembles, nous surmontions chacun la mort de l'homme que l'on avait aimé. ✈ Chapitre quatre: Jude. On dit que les filles qui tombent amoureuses, c'est beau, ça les grandit. Moi je tombais amoureuse comme on tombe d'une chaise. Du moins, ce fut ce qui se passa avec Jude. Je l'avais rencontré presque par hasard, alors que je venais d’emménager dans l'appartement voisin au sien. Comme une bénédiction que la vie mettait sur mon chemin. Comme un conseil : celui d'aller de l'avant, d'aimer à nouveau, de vivre. Pourtant, ce ne fut pas gagné d'avance. Les débuts de notre relation furent même plutôt difficiles. Il se plaignait du fait que je sois trop bruyante et je le traitais souvent de vieux grincheux. Tout nous séparait. J'étais bohème et libre, il était poli et bien élevé. Je m'interdisais d'aimer et passait mes soirées à me cuiter avec mon meilleur ami, il aimait collectionner les conquêtes d'un soir. J'étais un nez, c'était un peintre. Nous étions artistes, chacun à notre façon; et ce fut ce qui nous rapprocha. A ses côtés, je me sentais à nouveau entière, ou presque. Il me comprenait, ne me brusquait pas. Il me laissait avancer à mon rythme. C'était un homme plein de surprises. Au tempérament de feu, peu de choses le laissaient désemparé. En un sens, ce fut cette fougue qui me sortit de ma léthargie. Et une chose en entraînant une autre, nous finîmes par sortir l'un avec l'autre. Il me fit redécouvrir le sens du mot amour, à sa manière. Je ne pouvais rêver meilleur homme pour finir ma vie, alors qu'il passait son temps à répéter qu'il n'était pas fait pour la vie de couple avec toutes ses manies- un de nos nombreux sujets de chamailleries... Dieu, ce que nous en avions beaucoup de ces sujets d'ailleurs. C'était ça qui rendait le jeu si intéressant, je pense. Grâce à lui, je ne pensais plus à Tomas, enfin je pensais à lui comme on regarde avec bonheur un ancien souvenir, une vieille photographie. Nous nous étions fiancés un peu plus d'un an après notre rencontre. Nous aurions dû nous marier, il y avait un mois de cela. Seulement, mon père n'avait jamais vraiment aimé les autres hommes de ma vie. Il choisit donc exactement la date de mon mariage pour se faire enterrer. Bon, il avait une bonne excuse, mais je fulminais tout de même. La tristesse vint plus tard, beaucoup plus tard. Toujours est-il que, en rangeant les affaires de mon père, je tombai sur une lettre qui remettait beaucoup de choses en cause... ✈ Chapitre cinq: Toutes ces choses... Une lettre qui met 11 ans à parvenir, c'est long- extrêmement long, même. Et bien, ce fut le temps que la lettre de Tomas mit pour arriver à moi. Je l'avais retrouvée en rangeant les affaires de mon père, après sa mort. Je n'en croyais pas mes yeux. Et il me fallu, au moins, une centaine de lectures pour être sure que je ne rêvais pas... - Citation :
- Maëllys,
Trois mois sans t’écrire, c'est long. Surtout quand on avait pris l'habitude de s’écrire chaque semaines. J'ai survécu; j'ai survécu à la folie de l'homme! J'ai vu les atrocités engendrées par l'être humain- je les ai vécues. Je me demanderais toujours pourquoi l'explosion s'est contentée de me souffler au loin, alors qu'elle a déchiqueté tous mes compagnons. J'ai eu de la chance, je suppose... Mais être celui qui survit, ne fait pas se sentir mieux pour autant, mon amour- crois-moi. Ma seule consolation est que je te reverrais un jour. Pour le moment, je suis dans hôpital de Bagdad. Je suis presque entièrement remis, ne t'en fais pas. Dans quelques séances de rééducation, je serais de nouveau en parfaite santé. Marius vient me chercher dans quelques heures, pour me ramener à Berlin. Je profite de mes derniers instants de calme pour t'écrire cette lettre. Elle sera la dernière. Je ne tiens pas t’importuner, mon amour. Peut-être as-tu déjà refait ta vie. Si tel est le cas, je ne t'embêterais plus. Mais si, comme je l'espère, tu veux toujours de moi; j'ai joins un billet d'avion dans l’enveloppe. Il est sans date limite et ne périmera donc pas. Je t'attendrais à l'aéroport de Berlin chaque premier jour de chaque mois de chaque année. J'espère sincèrement que tu viendras. Tu as été le plus beau cadeau que la vie m'ait fait. Et même si tu ne viens pas, je garderais tous nos merveilleux souvenirs à jamais gravés en moi. Donc ne te reproche surtout rien, mon amour! L'heure approche et ma lettre arrive à son terme. Quoi qu'il arrive Maë, promets-moi une chose: vis ta vie libre et heureuse; comme tu l'as toujours été dans mes souvenirs.
Je t'aime.
Tomas. Après avoir longuement tergiversé, je m'étais rendue à Berlin. Prétextant une acquisition de livres précieux à faire absolument pour ma boutique pour rassurer Jude. Il ne devait pas savoir. Après tout, je voulais juste en avoir le cœur net, saluer Tomas- comme un ami vieil ami longtemps perdu de vue. Rien de plus. Seulement, une fois à Berlin, rien ne se passa comme prévu. Ce fut Marius- le meilleur ami d'enfance de Tomas- que je rencontrai. Il me reprocha de revenir comme une fleur, après 11 ans. Il tempêta que je n'avais pas le droit de m’immiscer à nouveau dans la vie de Tomas, comme si de rien n'était. Il me demanda où j'étais passée toutes ces années où Tomas n'avait pensé qu'à moi, parlé que de moi, vécu qu'à travers moi. Et là, grâce à Marius, je pris enfin compte de tout l'ampleur des dégâts que j'avais causé, malgré moi. « M'enfin, maintenant il est fiancé et il reconstruit à peine sa vie. Laisse-le Maë, je t'en supplie! » Il avait conclu sa tirade ainsi. « Onze ans, Marius. C'est le temps que j'ai passé à pleurer un homme. Je n'ai reçu cette lettre qu'il y a deux semaines. Je ne savais pas, je comprends. Je vais disparaître à nouveau... Juste au cas où, voici mon adresse... Si jamais un jour il veut me parler. » Je repartis comme j'étais venue: rapidement; les larmes coulant sur mon visage en plus. Me revoilà à Chicago, et tout ce qu'il me reste à faire, c'est de recoller les morceaux épars de ma vie. Mon père aura vraiment tout foutu en l'air jusqu'au bout! ✈ Épilogue : Cela faisait maintenant deux semaines que j'étais rentrée chez moi, que j'avais repris mon train-train quotidien. Mais quelque chose était comme cassé en moi. J'avais l'impression que l'on m'avait usurpé d'un choix, crucial pour mon avenir. Et que ce dernier m'avait été plus imposé qu'autre chose. Je détestais ce sentiment, cette sorte de léthargie dans laquelle cela me plongeait. Au bout d'une semaine, Jude finit d'ailleurs par se douter de quelque chose et je fus bien obligée de lui avouer pour la lettre et tout ce qui s'en suivait. De lui avouer que mon amour de jeunesse, Tomas, n'était pas mort. Qu'encore une fois, mon père m'avait bien eue. Et j’eus beau lui assurer que ce n'était que le choc de la nouvelle, que je n'éprouvais plus rien pour l'allemand qui un jour avait partagé ma vie, ce ne fut pas suffisant pour Jude. Il ne dit rien, et se contenta de prendre quelques affaires et de partir... Dieu seul savait où. Une semaine que je n'avais plus de nouvelles, que je me rongeais les sangs. Pour la deuxième fois de ma vie, j'avais l'impression de voir mon monde s’effondrer autour de moi, sans pouvoir rien n'y changer. Sans pouvoir recoller les pots cassés. Et, comme pour couronner le tout, il y avait ce petit signe positif. Ce signe qui m'indiquait que le test que je venais de passer était concluant.. Voilà comment ce qui aurait dû être la meilleure période ma vie était gâchée. Je me retrouvais seule. Par deux fois, j'avais perdu un homme que j'aimais, mon père n'était plus et bientôt j'aurai un enfant à élever. L'enfant de Jude. Qui avait dit que la vie était injuste ? |
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